En 2019
Valence Romans Agglo a ouvert un débat collectif avec Afterres2050 pour définir sa trajectoire agricole et alimentaire 2050« Le défi pour les années à venir va être de parvenir à nourrir une population qui va augmenter de 10 %, tout en faisant face aux changements climatiques ».
Dans le « data lab » d’alternatives éonomiques, l’agriculture bio fleurit partout en Europe
Dans Alternatives économiques N° 393 (Septembre 2019) : Manger bio est-ce meilleur pour la planète ? L’agroécologie serait-elle une catastrophe si elle se généralisait ? Les réponses d’Afterres2050 et de l’étude BioNutriNet
Lettre à ma fille, demain la faim, si on en fait rien
« La crise climatique en éclipse une autre, plus apte à mobiliser : celle de nos systèmes alimentaires, qui se profile avec la raréfaction du pétrole. La faim et le déclin démographique pourraient être une réalité, mais non une fatalité. Des solutions existent, comme le biogaz. Mais elles impliquent un changement de culture, dans tous les sens du terme » – Une longue lettre de Vincent Rigoulet à sa fille, dans le blog du Club de Médiapart, qui fait le tour de nombreuses études scientifiques, et cite Afterres2050, notamment pour ses propositions dans le champs de l’énergie.
Nous sommes en 2050, à quoi ressemblerait la vie dans un pays neutre en carbone ? Transport, logement, et… alimentation : Le Monde fait le tour de la question (article réservé aux abonnés) et évoque les propositions du scénario Afterres2050. Profitons en pour rectifier une petite erreur : contrairement à ce qui est évoqué, Afterres2050 raisonne bien en empreinte énergie et GES (émissions directes, indirectes et importations liées à la fabrication des intrants comprises). un scénario de fiction a transformer en réalité, pour vivre mieux avec un économie en meilleure santé comparé au scénario business as usual…
« Re-territorialiser les systèmes alimentaires en réponse aux demandes des consommateurs impliquerait donc de déspécialiser les régions agricoles et de recréer des outils de transformation là où ils ont disparu. Une mutation qui ne peut être envisagée que sur un pas de temps long…, en s’appuyant sur le scénario Afterres2050, comme le suggère l’Usine Nouvelle dans son édition du 29 janvier ? Manger local, un facteur de mutuation des filières agroalimentaires,
En 2018
Quel régime alimentaire devons-nous adopter pour sauver le climat, s’interroge le « Monde » dans son édition du 11 décembre 2018, dans sa série « Urgence Climat » publiée dans le cadre de la COP 24. Cet article rappelle qu’Afterres2050 « a résolu l’équation à l’échelle de l’hexagone »en modélisant une trajectoire pour parvenir à nourrir une France de 72 millions d’habitants au mitan du siècle, en respectant l’objectif de diminuer de moitié les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture d’ici à 2050 par rapport à 1990.
Si la transition énergétique avance à pas comptés, comme le souligne Alternatives Economiques, la question de neutralité carbone a irriguée les débats sur les mesures à ajouter à la loi sur la transition énergétique de juillet 2015 pour y parvenir…Les objectifs s’inspirent clairement d’Afterres2050 : une division par 2 des émissions de gaz à serre de la chaîne agricole et alimentaire.
Un territoire mobilisé autour de son « projet alimentaire territorial » en Auvergne
Pensez le rôle de l’agriculture à l’horizon 2050. Pour l’Humanité, notre scénario est conforme aux intérêts du monde paysan et il invite, alors que « chaque catégorie de producteur fait la course au productivisme dans son couloir, en concurrence avec les autres« , Afterres2050 donne une vision globale de ce qu’il conviendrait de faire (26 mars 2018).
En 2017
A quoi ressemblera l’agriculture de demain : un pod cast vidéo de 8 ième ETAGE, jeune journal numérique, fait par des jeunes) et qui veut aborder plus particulièrement des sujets qui se perdent dans le flot continu d’informations…
Pourra-t-on tous manger bio en 2050 ? Pour infOGM, l’agriculture biologique, ou, plus globalement, les systèmes conformes aux principes de l’agroécologie, visant une meilleure valorisation des services écosystémiques et une utilisation réduite d’intrants ont de beaux jours devant eux ! InfOGM s’appuie sur les modélisations réalisées à l’échelle mondiale et publiées sous le titre « Strategies for feeding the world more sustainably with organic agriculture » dans « Nature communication ».Ces modélisations, selon infOGM, tracent des perspectives « globalement conformes » à celles du scénario Afterres2050 de Solagro.
Le bio peut-il vraiment nourrir la France ? Les avis sont partagés dans cet article qui croise les analyses d’agronomes, d’économistes (CIRED, Bruno Parmentier) et de Solagro au titre des prospectives tirées d’Afterres2050 . A lire dans la Croix, du 20 octobre 2017.
Dans le Dossier manger autrement, pour une alimentation durable, d’Alternatives économiques, septembre 2017, N° 11, Afterres2050 est « un plan pour sauver la ferme France. »
« Il faut investir dans la qualité de la vie pour créer des emplois », 15 septembre 2017, Alternatives économiques: chronique d’Aurore Lalucq codirectrice de l’Institut Veblen pour les réformes économiques, dans Alteréco, dossier qui fait référence à nos travaux prospectifs et à Afterres2050/
Les nouvelles règles officielles de l’alimentation restent loin de la santé écologique, dans Reporterre, (8 mars 2017) suite à la publication des avis de l’ANSES (Agence nationale de la sécurité alimentaire), et à la prochaine révision du Programme national nutrition santé (PNNS). Un article qui fait le tour des avancées en la matière et des lacunes, et donne la parole à de nombreux experts, dont Solagro, dans une approche très complète de la problématique « alimentaire ».
« Climat : devenir végétarien pour veiller au grain »
La publication de la nouvelle version du scénario Afterres2050 en Janvier 2017 a été relayée dans plusieurs médias, très divers, professionnels et grand public, qui s’ajoutent aux articles publiés au fil de l’eau, selon l’actualité agricole, alimentaire, environnementale, européenne…
2040–2050 : un futur à construire plutôt qu’à subir : La France agricole, 10 février 2017 – Cet article fait écho aux comparaisons menées en 2016 par l‘ACTA dans l’ouvrage : « Les 4 scénarios possibles pour l’agriculture en 2040 », et qui balaient le spectre des scénarios, du plus agroécologique au plus ultralibéral. L’article fait à cette occasion un coup de projecteur sur Afterres2050, un scénario présenté comme capable de résoudre « tous les problèmes ». L’article pose également la question du moteur de la transition « agroécologique », qui pourrait être une grave crise environnementale, tout en s’interrogeant sur les évolutions nécessaires à engager, pour justement éviter les scénarios catastrophes…
D’ici à 2050, neuf exploitations de la Picardie sur dix travailleront en« production intégrée » ou en bio, en semis direct sous couvert vivant, sans aucun travail du sol, et intégreront un tiers de légumineuses. C’est ce que prédit le bureau d’études Solagro. A lire dans la France Agricole, 24 janvier 2017
Agrapresse, (27 janvier 2017), résume les hypothèses du scénario Afterres, tandis qu’Entraid, journal des coopératives et du machinisme met l’accent sur nos portraits de fermes et leur évolution, d’aujourd’hui au milieu du siècle, dans son article l‘avenir, sous les couleurs de l’agroécologie et de l’énergie.
Le mensuel La Vie, dans son dossier « Respecter l’animal » du 15 février 2017, nous interroge sur les rôles et la place de l’élevage dans nos sociétés, à l’aune du contrat proposé par Afterres2050, et qui nous invite à remettre les « vaches à l’herbe », et à manger moins de protéines animales, viande et lait.
Afterres2050 a également été évoqué dans le numéro 325 de février 2017 de Campagnes Solidaires, dans un dossier sur les Assises de l’Agriculture et de l’Alimentation organisées par la Confédération Paysanne, qui se sont déroulées en janvier, en région parisienne.
La sortie de la version actualisée d’Afterres2050 a coïncidé avec la sortie officielle du nouveau scénario négaWatt2017–2050, le 25 janvier 2017. Cette simultanéité a donné un coup de projecteur sur la cohérence de ces deux trajectoires, intimement liées : la presse nationale généraliste en a largement fait écho: Alternatives économiques, Libération, Politis, …
- NégaWatt : 100 % d’énergies renouvelables en 2050, c’est possible ! par Christian Couturier, président de négaWatt et directeur du pôle énergie de Solagro, dans Alternatives Economiques, 25 Janvier 2017;
- Transition énergétique, intérêt et limites du scénario négaWatt, dans Alternatives économiques, Février 2017 par Alain Grand Jean (de carbone 4);
- Une France Sobre en énergie et 100 % renouvelables, Libération du 25 janvier 2017;
- Politis, 25 janvier 2017 rapporte le gain majeur qu’offrirait une mutation de l’agriculture telle qu’explorée par Afterres2050 et que le scénario négaWatt article à son étude, notamment la neutralité carbone.
WWF France et ECO2 Initiative révèlent dans une étude que manger mieux tout en réduisant son impact sur la planète est possible, le tout sans dépenser un centime de plus. Ces travaux s’appuient sur la prospective Afterres2050. Le magazine d’information aux consommateurs « Réponse Conso » en fait le relais dans son article « Manger mieux et sain sans dépenser plus, c’est possible! ».
Avant 2017
L‘assiette Afterres : Légumes secs : la viande du pauvre, championne de la transition alimentaire, dans la revue site et sols, 4 mai 2016.
Entendre les peurs et les motivations de l’Autre, entretien avec Phlilippe Bolo, animateur de la concertation dans le cadre des régionalisations d’Afterres – Agriculture et citoyens, le dialogue est-il encore possible ? Un dossier de Cultivar Leaders hors série N° 24, mai 2016.
Il faut repolitiser l’agriculture : entretien pimenté dans Transrural initiatives N° 453 – Mars 2016 – Avec l’agronome et généticien Philippe Baret (et membre du Conseil scientifique d’Afterres2050).
Un plan pour sauver la ferme France, Alternatives économiques N° 356 Avril 2016
Face à la crise agricole et pour le climat, les systèmes agricoles écologiques, dans les blogs des contributeurs du Huffington Post, le 26 février 2016
La réponse est dans le terroir – Dossier sur la Crise de l’élevage – La Vie, N° 3678, 25 février 2016
Et si on levait le nez du fumier ? Charlie Hebdo, 2 févier 2016.
Prospective : un autre modèle agricole est-il possible ? Cultivar leaders 63, le mensuel des grandes cultures, Groupe ATC, – Numéro 63 – Janvier 2016. Lire l’article
Prospective : lâcher les vaches au pâturage ! Dossier l’élevage paysan c’est la vie – Campagnes solidaires, N° 312 Décembre 2015
Elevage et climat , la rupture ? Réforme N° 3636 – Décembre 2015 (avec un intéressant témoignage d’éleveur)
COP21. Depuis Toulouse, la journée 123 climat prône le passage à l’action, Touleco, 11 novembre 2015
Afterres, scénario durable et rentable imaginé par Solagro, La France Agricole, 19 octobre 2015
L’agriculture de demain, prospère, locale et totalement réaliste, Reporterre, 16 octobre 2015
Solagro propose un scénario recentré sur l’alimentation humaine, Terre-net.fr, 16 octobre 2015
Négocier les utilisations de la biomasse, AgroMag, Septembre – Décembre 2014. Extrait: « La biomasse est un bien commun dont le partage ne peut se faire que par la négociation, une négociation qui doit reposer sur des visions prospective (…). C’est l’objectif des scénarios Afterres2050 et négaWatt. »
Le biogaz dans le scénario Afterres2050, interview de Christian Couturier, Congrès Biogaz Europe, janvier 2013. Extrait: « La méthanisation fera partie du standard des fermes de demain, que ce soit à la ferme ou dans des projets collectifs et mutualisés. En 2050, les énergies renouvelables représenteront 90% de la fourniture d’énergie et, sur ce total, la biomasse va rester la principale ressource énergétique, comme aujourd’hui. »
Comment se nourrir sans détruire l’environnement, Dans Alternatives économiques Poche, N° 054, Février 2012.
Agriculture: le scénario pour éviter de prendre le mur dans 10 ans, Carré d’Infos, 22 mars 2012
Le scénario Afterres2050 dans l’émission Terre à Terre, France Culture, 19 novembre 2011
Santé et climat, la viande est sur le billot, Touleco, 29 octobre 2015
